- Neuf
Une dictature nommée démocratie – Chroniques de la Covidofolie
(Dédicace possible)
« Les paroles s’envolent, les écrits restent. » Rédigé au jour le jour sur Twitter, ce livre est le reflet vivant de ce que nous avons vécu pendant la « pandémie ». À travers ses messages lucides, caustiques et drôles pour la plupart, Adina de Souzy nous livre un témoignage implacable, qui confronte le récit officiel à son tissu vertigineux de contre-vérités.
À lire et à conserver pour comprendre comment une démocratie s’est transformée en tyrannie en quelques mois. Notre devoir est de lutter contre cette propagande mortifère, et de répandre l'étincelle, le sentiment, la conscience qu'une vie meilleure est à notre portée. Ce n'est pas le moindre des enjeux d'Une dictature nommée démocratie.
« Les paroles s’envolent, les écrits restent. » Rédigé au jour le jour sur Twitter, ce livre est le reflet vivant de ce que nous avons vécu pendant la « pandémie ». À travers ses messages lucides, caustiques et drôles pour la plupart, Adina de Souzy nous livre un témoignage implacable, qui confronte le récit officiel à son tissu vertigineux de contre-vérités.
À lire et à conserver pour comprendre comment une démocratie s’est transformée en tyrannie en quelques mois. Notre devoir est de lutter contre cette propagande mortifère, et de répandre l'étincelle, le sentiment, la conscience qu'une vie meilleure est à notre portée. Ce n'est pas le moindre des enjeux d'Une dictature nommée démocratie.
***********
Artiste peintre et restauratrice d'œuvres d'art, Adina de Souzy est aussi une femme engagée. La liberté sous toutes ses formes lui tient d’autant plus à cœur qu'elle a vécu son enfance dans la Roumanie communiste du dictateur Ceausescu.
Elle n’imaginait pas retrouver dans le pays des droits de l’homme les mêmes mécanismes du totalitarisme, qui, selon elle, s’installe lentement mais sûrement, et s'est accéléré grâce à l'opportunité de la crise Covid-19.
Fiche technique
- Nombre de pages
- 250
- Dimensions
- 15,6 x 23,4 cm